Amy Backham dans la presse
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De père sénégalais et de mère congolaise, Woré Ndiaye Kandji est née à Brazzaville au Congo. Après l’obtention de son baccalauréat en Economie aux Cours Sainte Marie de Hann de Dakar en 1995, elle passe une année consacrée en actions communautaires dans les zones rurales de plusieures régions du Sénégal avec le Geep, le groupe d’Etude pour l’Enseignement aux Populations avant de voyager pour les Etats-Unis où elle poursuit son parcours en Etudes Internationales et en Business au City University de New York.  Elle a travaillé dans l’industrie de la mode qui lui a permis de sillonner la majeure partie des salons internationaux de commerce ou « trade show » de New York  avant de se retrouver à Una-Usa, l'association des Nations Unies aux Etats-Unis, où en collaboration avec le Ministère de l’Education de la ville de New York, elle a enseigné le programme de « Global Classrooms » et du modèle des Nations Unies au sein de plusieurs établissements scolaires.
Consultante en viabilité environnementale, elle est spécialisée dans la vente et la promotion de
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«Moi je veux que mes consœurs soient beaucoup plus impliquées dans la reconstruction de nos pays respectifs. Au lieu d'aller en France ou en Espagne, qu'elles fassent un jumelage avec des femmes de la sous-région, un échange de culture entre le Ghana et le Sénégal, le Mozambique, le Niger, l'Angola. A leur retour, qu'elles se retrouvent pour raconter la différence dans les pays, la façon de voir, qu'est-ce qu'elles ont appris, comment est-ce qu'elles comptent changer certains fonctionnements pour adopter ceux des femmes du pays visité.»
Ce sont là les propos de l’Etrangère dont le classeur a été retrouvé par Nabou, la Drianké Saint-Louisienne. Dans son discours, point de gants. Le ton est donné dès le départ et nous exhorte à méditer sur le rôle de la femme africaine élitiste dans l’état actuel du continent. Un ton certes accusateur mais tout aussi chaleureux et souvent empli d’humour. Façonné sous le sceau de la confidence, cet ouvrage assez particulier dans le sens où il fusionne le roman et l’essai est une invitation à l’échange en pleine ère de globalisation et à l’aube de la Renaissance Africaine. Une nouvelle forme de littérature africaine est née. On se met à table ? 

produits dérivant du Fair Trade.  Autant que pour son dévouement à sa profession qu’elle considère la révolution sociale et industrielle du 21e siècle à laquelle elle s’exerce depuis quelques années au sein d’une entreprise américaine pionnière à travers le monde dans le business de la responsabilité sociale et de la viabilité environnementale, dont la vision philanthropique va au-delà de toute attente dans ce mouvement de globalisation, sa passion pour la littérature africaine est impressionnante. Elle a publié plusieurs articles dans le magazine féminin « Amina » et est éditrice de la rubrique des femmes africaines exceptionnelles pour le Global Information Network.
Entièrement dévouée au combat pour l’amélioration de la condition de la femme à travers le monde, elle est membre du bureau de constitution de « Indaba Africa Center » de New York et la fondatrice de IRW « The Interrelated World », une organisation spécialisée dans l’éducation et la propagande de la viabilité environnementale et du Fair Trade .